SARL JEGOUX
Présentation du dirigeant
Alain LE MERLUS : l’entreprise familiale, SARL JEGOUX
Alain LE MERLUS est gérant de la société SARL JEGOUX, depuis 1997. Tous deux natifs de la commune, Alain et son épouse ont pris la décision de reprendre l’entreprise familiale. Le beau-père de M. LE MERLUS fut le premier à créer un funérarium privé dans la région. Alain a d’abord été salarié dans l’entreprise durant 2 ans avant de prendre la relève.
Alain était menuisier de métier. Il a décidé de prêter main-forte à son beau-père en 1995. Il a alors passé un examen de Taxi ainsi que celui de pompes funèbres. L’activité de l’entreprise a évolué depuis l’arrivée d’Alain. « On a commencé avec une salariée à temps partiel, avec l’aide de ma mère, et maintenant nous sommes 4 à temps plein. » explique Mme LE MERLUS.
Deux activités complémentaires
L’entreprise SARL JEGOUX propose un service de transport de personnes (Taxi et TPMR pour le transport de malades assis), mais également de pompes funèbres (organisation des obsèques, prévoyance obsèques, travaux de cimetières…). « Ce sont deux activités complémentaires » confie le dirigeant. Ils transportent des personnes malades jusqu’aux centres de soins, majoritairement, mais ils peuvent accueillir des enfants ou bien d’autres personnes en taxi « pur ».
Le contact avec le client est essentiel, « je ne pourrais pas faire que pompes funèbres » précise Alain LE MERLUS. Ce sont des activités très prenantes. En effet, « il ne faut pas avoir peur de faire des heures ». Les pompes funèbres sont ouvertes 24h sur 24 et 7 jours sur 7. « Le téléphone peut sonner à tout moment » explique Mme LE MERLUS.
La rigueur, la discrétion et l’écoute font partie des maîtres-mots de ces deux professions. Il faut réussir à mettre ses émotions de côté et rester professionnels, notamment dans les pompes funèbres, « On ne peut pas s’endurcir en faisant ce métier, nous sommes des êtres humains avec un cœur ». C’est pour cette raison que le couple fait des activités extérieures, « il faut se vider la tête, ne pas trop penser au travail. ».
